C'est un ours physiquement, un ours qui ricane constemment quand il ne se défonce pas au scotch dans un bar (ou à autre chose) un peu cynique, très nostalgique, ses romans ont une saveur sans pareil. Comme d'autre Crumley a fait le vietnam, il est de cette génération de déçut des années 70, de celle qui aurait pu terminé épave si la littérature n'était pas venu lui rentrer dedans. Quand j'aurais plus de temps j'y reviendrais, mais pour conseil lisez : le Dernier Baisé. Sont plus beau à mon sens.