Le Roi des ENCULES

Il s'appel Regis, Philippe Regis, propriétaire de l'hotel des Bains, 33 rue Delambre...

Cet enculé vient donc de me signifier qu'il me licenciait, mais ce fils de pute est le descendant direct d'Arpagon, un malade, un psychopathe de l'argent qu'il compte et recompte... alors vous savez ce qu'il vient de me faire ce porc ?*

Il me licencie oui, mais il ne m'oblige pas à faire mon mois de préavis... oh non ! Il est plus malin que ça, il ne m'oblige à rien, juste il a décidé d'attendre le mois de décembre pour me donner mon solde de tout compte.
Légalement ce fils de pute m'empèche de me faire éventuellement embauché ailleurs... sauf
Sauf si je démissione...
Et si je démissione...

Alors voilà, je n'ai pas un sou, pas moyen de payer même ma chambre et ce fils de pute, ce royal enculé m'explique que c'est pas son problème que j'ai été payé (et il le sait, une misère vu qu'en raison de problème de fric et des avances mon salaire était de 400 euros) Je me demande s'il a jouit dans son pantalon.

Très bien, cet enculé croit être en mesure d'une guerre. Il a volontairement déclaré la guerre à son employé pour ne rien payer. Il connait la pression économique, il sait ce qu'il fait.
Je ne peux même pas m'inscrire au chômage légalement.
Alors demain c'est direction les prud'hommes, et en attendant, il va recevoir ma visite tous les jours. Règle de présence oblige, ce type veut m'obliger à démissioner. Bien ce type va le payer cher. Ce porc qui a toujours des liasses dans son bureau, ce porc qui quand il surbook un client et qu'il n'a plus de chambre lui propose "à titre gracieux" une chambre dans un des établissements du "groupe" à savoir le bouge qu'il possède Gare du Nord, le Richmond.

Messieurs dames, c'est la GUERRE

Avatar de circonstance.

Je vois qu'il est inutile de te demander si ça s'est bien passé.

Tu attendais ce jour avec une telle impatience, qu'il a dû s'en rendre et agir de sorte de te pourrir la vie un peu plus.

PS: Ton nouvel avatar est moche.

tu veux tout savoir c'est la première foid où j'ai envisagé revenir sur mes pas pour lui mettre ma main dans la gueule, la première fois où j'ai des envies de violence ! Ce porc qui hier encore comptait ses liasses devant moi me crache à la gueule que ce n'est pas son problème qu'il me fout dans la merde. Ce tas de merde ose me balancer ça !?

Mais il est fou lui, inconscient !!!
Donc puisque il semblerait que son action est illégale (s'il ne veut pas que je fasse mon mois il doit me donner mon solde) demain je vais voir les prud'hommes... et après, et bien je vais faire mon mois de préavis, mais à ma manière

S'il a des choses à se reprocher, tu peux aussi faire venir l'inspection du travail aussi ça lui ferait du bien de voir que d'autres personnes que lui aiment foutre la merde et la remuer

En tout cas, cet enculé -désolé du terme, mais y'en n'a pas d'autres- sera vraiment un casse- burnes jusqu'au bout , fais le cracher ! Pas de pitié

La loi est bien faites...

Je vous explique, en l'état je n'ai pas le droit à me rendre à mon lieu de travail, il ne m'y autorise pas, comme j'en ai rien à foutre, il a fait venir les flics... les flics très cool, ont bien entendu, et en l'état il a le droit, donc j'ai du repartir.
Comme il a droit de me payer ce mois de préavis qu'il ne veut pas que je fasse et mon solde à la fin du mois.
Il a le droit donc de m'empécher de travailler, sauf si je lui demande de ne pas faire le préavis, donc de ne pas être légalement payé, auquel cas il doit effectivement faire mon solde. (ce qui tu t'en doutes lui fait économiser trois haricots)
Le calcul est simple et extrêment vicieux, au jour d'aujourd'hui si je trouve un taf (forcément mal payé) je ne toucherais même pas un salaire entier, et encore dans la mesure où je commence demain et la loi est pour lui !!
Dernière subtilité dans le coup de vice, si je refuse mon mois de préavis, c'est considéré comme... faute grave !!! Elle est pas belle la vie ? Ainsi en ces temps de précarité tu te fais baiser autant de fois que ce porc aura envie de le faire.

Ainsi tout de suite, en raison de mes ennuis financier du mois dernier, je n'ai pas d'argent pour bouffer, me loger et je suis à découvert... grace à ce fils de pute qui veut économisé jusqu'au moindre grain de maïs...

Mais je vous le dit mes amis, la vengeance est un plat qui se mange froid, et ça tombe bien, j'aime manger froid

Dans le genre "âme de pute", une fille que je connais donne des cours de fitness dans une salle de sport mais comme ce n'est pas suffisant comme salaire elle bosse aussi pour une franchise:"la briocherie"(je crois) donc tous les débuts de mois elle présente son emploi du temps de la salle de sport à la" manager" de la briocherie pour qu'elle lui adapte ses heures.
Un jour on ne sait pas pourquoi cette salope lui présente un emploi du temps totalement incompatible avec son autre job.Elle demande des explcations sachant que la" manager" connait sa situation et pour réponse elle a droit à un:
"si t'es pas contente tu dégages"

Tout ce que j'espere c'est que rien ne se perde et tout se transforme et que tôt ou tard tu doives assumer ton comportement de pute .

Rien de comparable, mais un truc chiant avec ma boss pareil. Quand j'étais au lycée, y'a pas très longtemps donc, je bossais au marché chez un traiteur, caissier et j'emballais la bouffe pour des vieux qui étaient à la fois vieux et bourges. Bon. La patronne était une grosse connasse qui me prenait pour un débile léger, genre, ah t'es encore jeune tu peux pas comprendre. enfin bref.. Elle voulait me faire faire la vaiselle en pleine hiver dehors, après une fois je lui ai bien fait comprendre que c'était pas la peine, j'allais pas attraper la crêve pour ses beaux yeux... Et puis un jour j'en avais marre d'elle alors j'ai démissionner. Ca m'a fait mal car tout d'un coup le revenu régulier de thunes que j'avais a stoppé. Mais c'était pas vital donc c'est bon...... mais enfin. Comme quoi les patrons hein...

Je me suis inscris spécialement pour réagir sur ce thread. Ce qui t'arrives actuellement, j'ai vécu à peu près la même chose il y a 2 ans. Sauf que je suis arriver à renverser la situation à mon avantage et j'ai fait cracher mes boss un maximum au niveau thunes. Ca a été dur, éprouvant psychologiquement, mais après quelle jouissance de les voir me supplier de négocier... Y'a le contrat de travail, y'a ce que dit la Loi! Et à moins que t'es montré ta bite à des clients ou chié au milieu du hall d'accueil, c'est pas facile de licencier les gens.

En ce qui te concerne, tu dis que ton boss t'autorise pas à venir sur le lieu de travail, qu'il a même fait venir les flics pour te faire partir. Ton boss t'a donc mis à pied, c'est ça? Est-ce que cela t'a été signifié par écrit? As-tu signé quoi que ce soit se rapportant à cette situation?

Pour l'instant rien du tout camarade, la seule chose écrite j'ai c'est la lettre de convocation en vue d'un entretient de... Vois tu cet homme se croit très mariole, est pleutre et prend les gens pour des choses qu'il achète. Le simple fait déjà qu'il fasse retarder le réglement final (avec l'autorisation de la loi, cependant) prouve qu'il essaye de me baiser sur la longueur. C'est un calcul idiot basé sur ma précarité supposé, mais il n'est pas tombé sur la bonne personne. Je ne viens pas d'un milieu où on s'écrase devant la supposé omnipotence d'un patron. J'ai déjà attaqué un de mes ex employeurs au prud'homme, trois ans de procès, 36000 francs de dommages et intérêt, insuffisant, mais sachant que mon avocat a travaillé pour une misère... J'attends encore un peu, si vendredi je n'ai pas reçut ma lettre de licenciement ou la signification écrite de ma mise à pied, le petit homme va entendre parler des devoirs du patron et des droits des employés, ce qui devrait profondément lui déplaire, vu la haine qu'entretient cet individu vis à vis de toute forme de misère.
C'est le seul français que j'ai jusqu'ici rencontré qui se permet de qualifier les italiens du sud de "feignants du sud" pour qui l'italie du nord ne voudrait, selon lui, plus payer. Lui c'est pareil, la vue d'un mendiant le remplit de mépris et de colère.

Je ne savais pas ce qu'était l'avarice, c'est un concept qui me dépasse tellement que je n'arrivais pas à imaginer à quoi pouvait réellement ressembler un avare, bin là je sais très bien maintenant, c'est une maladie de la tête.

Mr Meuh! a écrit:

Pour l'instant rien du tout camarade, la seule chose écrite j'ai c'est la lettre de convocation en vue d'un entretient de...

Dans ce cas là, s'il n'y a rien d'écrit t'interdisant de foutre les pieds sur le lieu de ton travail, il est entièrement dans son tort. Il a appellé les flics pour te virer?Tant mieux, il se fout lui-même dans la merde!

Ecris lui une lettre avec accusé de réception lui rappellant ce fait et en demandant des explications sur l'impossibilité pour toi d'exercer ton taf alors que tu y es contraint par ton contrat. Ce contrat, il y a apposé sa signature, non? En agissant ainsi, il a donc commis une faute et il faut en profiter.

C'est une idée à garder en réserve, je viens de recevoir ma lettre de licenciement, et la mise à pied n'est toujours pas clairement mentionné en les termes
Mais pour l'instant c'est me débarasser de toute relation avec lui qui m'intéresse, alors à moins qu'il fasse chier je vais laisser pisser. De toute manière la lettre elle même me semble très très discutable, il invoque toutes sortes de raisons mais auxquelles un juge peut répondre : "alors pourquoi vous avez attendu 6 mois monsieur ?"
Le ton est presque passionel, c'est marrant...

C'est clair: ton patron est très con!

Déjà, il t'interdit verbalement de venir travailler. Il demande même aux flics de te faire partir, alors qu'il n'y a aucune mise à pied. C'est illégal.

Ensuite, pour virer quelqu'un, même dans le cas d'une faute grave ou lourde, il faut qu'il y ait eu au préalable au moins deux avertissements; avertissements qui doivent être bien entendus notifiés par écrit: soit par recommandé avec accusé de réception, soit remis en mains propres et signés de ta main. Je suppose que ce n'est pas le cas.

Or, il t'envoie une lettre de licenciement. Eh bien, c'est encore une fois tout simplement - allez, tous en choeur - illégal. Ca fait maintenant deux fois qu'il bafoue ton contrat de travail.

Le contenu "passionnel" de cette lettre devrait en plus jouer en ta faveur car, en plus de tous les éléments, tu peux ainsi dénoncer le caractère persécutif et injurieux avec lequel s'acharne ton boss...

Moi, je te conseillerais de mettre tout ceci par écrit dans une jolie lettre recommandée que tu lui adresses. Logiquement, il devrait se chier dessus et te faire ton solde de tout compte dans la seconde.

Non l'avertissement a eut lieu déjà une fois, il y a environs deux mois, mais bon comme il l'a très bien compris j'en avait rien à foutre... d'ailleurs ce qui m'a éclaté c'est qu'il m'a reproché d'avoir prit ce boulot comme un travail de passage, en attendant autre chose
C'est vrai quoi comment j'ose espérer mieux que 1000 euros par mois, vivre dans une chambre d'hôtel et m'emmerder 7h par jours à enregistrer le fric du monsieur...
En fait tout cela il aurait trouvé ça parfait, si j'avais démissioné, comme tant d'autre avant moi...
Excellent , dans le lettre il me dit qu'il m'a prit à plein temps pour me permettre de gagner mieux ma vie.... quel grandeur d'âme, quel générosité... boooouh j'ei ai le coeur tout triste... C'est marrant vu que le poste avait été choisit pour un autre, un jeune, qui au bout de dix minutes à son nouveau poste proposait de vendre des clopes et du parfum Chanel aux femmes de ménages, a "paumer" une carte de crédit d'un client et "paumé" la caisse du jour...
Quel fin psychologue ce "patron"...

En effet, il semblerait qu'il ne s'agisse pas une lettre de licenciement écrite par un patron sans coeur, mais bien celle d'un homme meurtri qui a sué sang et eau pour protéger son employé en lui offrant des conditions de travail idylliques accompagnées d'un salaire mirobolant.

N'as tu point honte de refuser de démissionner sur le champ après tout ce que ton bien-aimé patron a fait pour toi?

Comme disait piteusement mon ancien boss, dans une dernière tentative de ramener la couverture à lui, lorsque je suis parvenu à le contraindre de négocier mon licenciement avec de GROSSES indemnités: "tu vois, on est pas des salauds!" (sic)

J'en ris encore...